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"La phobie du petit Hans, j'ai montré que c'était ça,
où il promenait Freud et son père, mais où depuis les analystes ont peur."J. Lacan télévision 1 p.528
La terreur tient du territoire, c'est là dedans que nous vivons. D'une vie de phobie, si la phobie n'est pas analysée, tempérée seulement par l'hystérie et la névrose obsessionnelle, la phobie reste la plaque tournante des névroses.
Ces modes tempérés font autant le jeu de l'ordre public, mais jettent de l'huile sur le feu pour le sujet et son entourage. Chacun a peur, reste à la maison où il cultive ses petits et ses grands rites, d'autres y assistent en silence. Cette tempérance aggrave le cas en famille, existences confortables mais jamais délicieuses, conjuration du désir, conjugaison sordide.
Le sujet névrotico-pervers de la symbolisation, même relayé par la culture pose la question : « - Pourquoi je ne suis pas un animal, à la rigueur une plante ? », « - Au fond, ne suis-je pas en train de vivre dans la jungle, au milieu de bêtes féroces? ». Question névrotique entretenue par des fables et des liens d'ignorance, cultures, civilisations. De même, le pervers pourvu de son fétiche, demande dans ses rites : « Pourquoi ne suis-je pas une bête féroce ? », puisque tous lui disent que c'est de la nature.
Lisez une nomenclature, comme sait en faire un mandarin érudit, sur la phobie, où tout ce que Freud a écrit sur le sujet se trouve compilé, vous pourrez constater que même si l'auteur n'y entend rien de ce brique à braque d'anorexie et d'addiction, à propos de la phobie, il en ressort au moins une chose : la phobie est animale et territoriale, d'ailleurs c'est la même chose, les plantes aussi, avec la chlorophylle.
I
Les animaux
Le territoire c'est l'extension de la libido
où les animaux parlent mais n'ont pas la pratique des portes.
Le territoire animal est déterminé par des rites, des cycles instinctuels, des déjections, des postures, des couleurs et des cris.
Les hommes et les femmes qui se croient civilisés savent utiliser la plasticité animal pour la mettre à profit. Le chien, ce crétin qui aboie pour défendre son territoire, prévient la maison qu'un corps étranger est entré dans la propriété de son maître. Le chien est le meilleurs ami de l'homme qui le procède, ils ont aussi en commun quelques pratiques prégénitales à dominance anale.
Le maître en question oubli qu'il va uriner dés qu'il rentre chez lui ou lorsqu'une visite s'annonce, ou bien il tousse, il crache, il fait du bruit, se racle la gorge mais lui se considère en conscience au dessus de son chien. Depuis Darwin il est au dessus du panier, unifié sous le même totem : le singe. Il pourrait s'en distinguer, si il s'en donnait la peine mais souvent il ne le veut pas et ne le peut pas, il préfère les médailles, les récompenses et l'ignorance docte.
Les théologiens, les pédagogues et les juristes se sont occupés depuis longtemps d'organiser son lien collectif suivant le modèle animal : foules momentanées comme institutions stables. Les choses s'aggravent 2 avec la puissance industrielle du passage à l'acte du capitalisme scientifique qui dépasse l'entendement des sujets, du plus humble au plus prétentieux. Lisez les textes idéologiques des léninistes du monde globale bourré de préjugés.
Chez Freud qui écrit dans sa langue, l'incrédulité se dit Unglauben, le reste du monde néglige la particule, négative en allemand, de l'Un. Ils croient que les allemands sont bégues : Un Global Un Global, signé : W.W.W.
« Revenons à l'animal ! », : c'est une clameur. La seule difficulté c'est de croire qu'il faut faire disparaître 1 - le désir (sexe) par le recours au commerce hygiéniste, pornographique et pharmaceutique qui y suffit et 2 - la parole par la psychothérapie, en suivant les théories confuses du Cercle de Vienne. C'est ne pas voir que ceci nous conduit à l'animal machine hésitant entre Descartes et La Mettrie, lu de travers et malgré le génie de Turing. Mais ceci est une ouverture vers la suite de cette étude, en direction de la psychose paranoïaque et de son ombre sinthome et névrotique.
Chez l'animal, dans ce territoire délimité par ces murs de parade, l'accomplissement de certains cycles comportementaux deviennent possibles. Des rites, en principe sexuels, lisez les études d'éthologie.
Mais ces travaux ne peuvent traiter du sujet qui relève de la déviation de ces cycles chez un mammifère qui survie de ces détours et de la faille qui les provoque. Le désir introuvable hors du langage, à moins de se contenter d'analogie.
Nous concluons ce petit rappel pour définir le territoire : Le territoire c'est l'extension de la libido.
Avec leur parades sexuelles et défensives, les animaux parlent mais ne savent pas parler car ils ne savent pas qu'ils parlent ni comment ils parlent. Nous pouvons partager cette situation, mais elle reste traumatique pour les enfants de l'OM.
De fait leur territoire animal n'est pas organisé par des portes parce qu'il n'est pas dépendant du désir venant de cette structure qui produit les langues.
Le langage est une porte qui se dit ; "il n'y a pas de métalangage." Le métalangage est une langue spéciale qui permet le commentaire de la langue, on a cru au latin par exemple en occident chrétien voir catholique, on y croit toujours, même remplacé par les mathématiques. Hors cette négation originale dans le discours de la psychanalyse, est entendre comme principe de la pensée où la présence nécessaire du métalangage constitue le langage en tant que tel, il ne peut pas ne pas y avoir de métalangage, mais où ce n'est pas un métalangage autre (méta signifie au delà) que celui qu'il commente. Nous pouvons formuler la grammaire d'une langue dans les termes de cette langue.
Ceci demande, bien sûr quelques explications afin de faire le lien avec la structure du territoire et du corps dans le territoire. Expliquons cela.
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Cette structure savante alliée à la parole authentique permet la différence, la grande répétition qui se retrouve partout dans les langues, nouée entre parole et écriture. Un mot nouveau, il est produit par une substitution qui pourrait s'expliquer par un commentaire, une sorte de simple déplacement du sens qui trouve sa raison, on appelle ça métonymie. Mais ce geste peut se prolonger jusqu'aux cas où l'on pense toujours pouvoir produire le commentaire, or justement dans ce cas on ne le peut pas, mais c'est trop tard, le mot, par pure substitution, a été accepté du fait de la Parole, impérative toujours, c'est la métaphore, ainsi liée au discours du maître, malgré les lâches et les terroristes littéraires qui n'osent plus parler de ce fait. Car l'usure va venir et le mot paraîtra banal aux générations futures, conflit des générations, meurtre des pères, jusqu'à disparaître. Il faut réinventer sa langue pour apprendre le langage.
Ceci reste lié à la différence entre phonétique et phonologie. Le fait que n'importe quoi peut servir pour signifier n'importe quoi, sans raison intrinsèque comme signal sonore (côté signifiant de la parole) ou comme icône ou indexe graphique (côté lettre de l'écriture).
Cette différence été déjà faite par Aristote entre phoné et logos, elle a été redécouverte au siècle dix-neuf par B. De Courtenay d'après R. Jakobson qui reste la meilleur source en cette matière. La différence entre phonétique et phonologie est très mal enseignée du fait de la présentation malheureuse de F. De Saussure.
Lacan l'utilise pour promener ainsi ses auditeurs et ses lecteurs d'alors dans des arcanes dont pas un n'est capable de sortir, entre signifiant et lettre, faute de lire un texte tardif en la matière intitulé "Radiophonie" et ne plus suivre le linguiste que sa rigidité littérale de savant égare.
Le signe est ruineux 3 pour introduire à cette différence. Le signe nous ramène à la vérité comme correspondance ou pire à la représentation. Il ne met pas suffisamment l'accent sur la structure de l'objet lettre, oublié par Kant dans son intuition, mais le produit comme nécessaire sous son aspect d'objet, à la fois différent et d'autre part identique à la signification du fait de la lecture du sujet à ne plus l'oublier et distinct de la conceptualisation, la foire où l'on s'embrouille dans les ronds qui les cernent.
Par contre il y a bien une différence entre l'usage naturel (sic) du son sonore, noté par Lacan4 : S, et son emploie phonologique noté : (S barré), signifiant dans une langue qui nous fait entrer dans une structure distincte. Distinction du sujet si il la prend à son compte et l'étudie, snobisme nécessaire du tact et de la pudeur.
La porte
Le langage est une porte
Le trauma produit la pudeur
Ainsi une différence apparaît entre la libido seulement animale et libido du mammifère qui parle avec des lettres. Parce que l'infant ne sais pas qu'il écrit mais déjà il a appris à lire, il parle ainsi, grâce à la maladresse de ses parents qui l'ont heureusement déçu d'avoir oublié, eux, qu'ils parlent.
Bonne déception qui introduit à la pudeur du fait d'un trou irréductible qui présente la structure de la la droite infinie (la D.I. telle que l'écrit Lacan) et conduira à la structure du territoire par des coupures qui s'ouvrent et se ferment. On appelle ça une porte.
Regardez la ville, ces espaces infinis où il ne se passe rien, vide, désert, les corridors, les paliers, les cages d'escaliers, les entrées, les vestibules. Plus on est riche plus on a de portes et d'espaces de transition qui sépare l'espace privé de l'espace publique. Plus ont est pauvre moins l'on a de telle commodité pour dissimuler l'abjection du corps, l'obscenité, la misère.
Les bourgeois se targuent de cette différence pour se croire meilleurs, elle est artificielle et violente, entretenue par la violence. Cela s'appelle en grec la polis, la cité où tu dois bien te tenir.
Les animaux n'écrivent pas, ils ne savent pas écrire, le savoir c'est l'écriture et la lecture avec leurs difficultés propres pour le sujet qui les opposent à la vérité, la vérité c'est la parole.
Plus facile puisqu'on peut la réduire à un éternuement, un aboiement dans l'indignité d'une : "qu'il paraisse!". Savoir parler, c'est savoir bien parler, c'est savoir lire ou écrire.
Cela n'a plus affaire avec de l'instinct et ce n'est pas oonnaître, jeu de mot douteux du fait de naître de nature. N'être, plutôt, être rien sans un acte qui le constitue, semblant ce rien qui n'est pas rien, semblant par exellence bien qu'il y en ait une diversité, effet du langage, le sujet.
Lire, écrire font partie de la pudeur, la signification vient de ce qui est présent d'être absent, non indiqué et que tout indique pour celui qui sait lire. C'est ce que rejette le paranoïaque, le sujet de la psychose pour qui l'Autre ne doit pas être barré et dont il ne suffit pas de le répéter mais dont il faut dire ce qui le constitue ainsi, mais nous traitons de la névrose ici laissons perversions et psychose pour une autre occasion. La barre elle aussi n'est pas indifférente dans sa diversité.
Trauma et narcissisme,
Maintenant le narcissisme, car le corps fait partie du territoire en tant qu'image narcissique, un corps libidinal, un corps territoire, Lacan explique en devenant l'Autre le corps devient table de jeu.
Le sujet est entré dans le langage par le traumatisme. Le traumatisme c'est celui du malentendu des parents, ils ne s'entendent pas crier. Ni au lit ni dans leurs diputes. Solution élégante à l'intérrogation de Freud qui n'est pas tout à fait satisfait de la proposition de Rank. Juste après la naissance vient très vite l'épreuve du malentnedu entre eux qui offrent une réponse trops attive à la seule question qui vaille : que font ils ensemble ces deux là, et d'ailleurs sont-ils deux? Sont-ils le même? Question de réunion et de séparartion déjà. La réponse à ces question fait un trou, le type de trou produit par la droite infinie, difficile à penser parce que nous sommes dedans, ce trou nous constitue, trou réel du refoulement primitif (Urverdrang), refoulement d'origine entre processus premier et procesus primaire. Les psys de toute accabit le recherchent encore comme si un grand déménagement du fond au comble de la maison pouvait donner un meilleurs arrangement. C'est plus facile à observer chez les autres, quitte à les rendre fous, qu'à penser par soit même, même avec l'aide d'un autre à l'occasion. Impossible sans l'écrit silencieux pour sont propre compte, dans son propre cas, puis que la dimension de la D.I. qui entre ici en jeu du côté des oreilles constitue le sujet. La difficulté pour le sujet c'est qu'il croit nécessaire de ne le penser que dans le vacarme puisque c'est sonore.
Parallèlement se forme, en dérivation pour le sujet, l'expérience d'un autre corps, celui-là de langage, un corps dévié et une déviation pemanente du fait du langage, ça commence a faire matériau littéral.
Le narcissisme c'est l'investissement libidinale de l'image narcissique par le moyen des éléments «en pointe» dans l'image du corps. La dimension du trou passe de la voix au regard. Une étude géométrique de la symétrie par rapport à un plan (dimension deux) des objets de dimensions différentes (deux ou trois) dans l'espace de dimension trois, est ici nécessaire 5.
Son résultat se résume dans le fait qui donne lieu à un théorème de géométrie simple. En deux parties
Théorème des objets plats
Les objets de dimmension deux sont identiques, au sens euclidien, à leur image symétrique.
Théorème principal
les objets de dimension trois ont une image différente d'eux même du fait de l'inversion d'une dimension parmi leur trois dimensions, mais, irnie du sort, personne ne peut dire laquelle.
Cette équivoque est réelle, impossible de distinguer l'exeption, une dimension quelconque ou les trois d'un coup aliénent le sujet à son image dépendante de la dimension, qui n'est plus celle de la D.I. du trauma, mais s'y référe et y ressemble, le Phallus de l'énonciation impérative, l'autorité elle même, avant le pouvoir qui l'accapare, c'est déjà primaire, ce n'est plus premier. Ceci mérite d'être considéré de plus prés.
Or personne, parmi nos grands incrédules, ne s'en donne la peine, faute même de n'y avoir jamais pensé ni de l'avoir même suspecté ou imaginé. Tous répètent, dans le silence du rite comique, la ritournelle : "image spéculaire", "objet non spécularisable", sans se rendre compte que Lacan qui a introduit les termes, nous a laissé la tâche de les définir, si nous voulons en parler pour nous en servir.
Dans ce traitement géométrique de la question préalable des choses psys, la libido est une lettre, constante du discours qui, comme en physique depuis Descartes, appelle une équation, alors un texte, au moins une phrase, dés une phrase, une phrase = un fantasme, une théorie en somme ou en discours, une énergétique où se trouve prise cette tension du sujet lisible dans l'aspect du verbe.
La phobie névrose d'angoisse.
Nous pouvons préciser, ce qui pousse (Drang) et ce qui structure le territoire de la phobie. Freud nous conduit à nous interroger ainsi à propos de la raison de l'angoisse.
Angoisse et trauma. Ici il y a une différence entre Freud et Lacan qui doit être soulignée comme nous l'avons écrit plus haut, d'un trait léger, comme toujours dans ces cas, leur différence dans le même, l'un écrit l'autre parle, de la même chose, ils tiennent le même discours qui différe comme la langue écrite de la langue parlée. C'est pourtant la même langue, le même discours.
La phobie c'est l'angoisse. L'angoisse est produite par la perception du désir de l'Autre.
Ainsi l'or, de l'orgie, de l'or qui ri, de l'origine. Continué à pratiquer la régression, jusqu'à l'éthologie animale comme c'est la mode aujourd'hui avec la résignation lancée par de malins crétins. Grave enlisement du désir, il est pourtant apparu, là, découpant déjà le territoire pour y produire sa condition nécessaire.
Trauma et castration
Il ne faut par confondre, Trauma (narcissisme) et castration qui se nouent et se distinguent entre eux et cesser de confondre angoisse et jouissance qui manifeste la libido.
C'est la différence de l'entrée à la sortie, du refoulement primaire (le trou Urverdrang, la D.I.), au refoulement du processus primaire(la coupure, Verdrang), par où nous passons au secondaire. L'entrée s'était une déception, la sortie c'est pire et aussi déception impensable.
La sortie par le refoulement du processus primaire et ses constructions théoriques assez dignes d'être étudiée, les théories sexuelles infantiles, transforme le désagrément rencontré en se substituant à la satisfaction recherchée. C'est délicieux.
Seule les niais croient encore et veulent faire croire en vu de l'exploitation du sujet que la castration est une menace et perverse de surcroît, comme un petit bobo reproduit, un petit malheur, faute de la référer à la lisibilité. Même l'horreur est affaire d'écriture, sinon la comédie continue alors qu'il s'agit d'une tragédie magnifique transformée en terreur minable.
Rappelez-vous la sentence :
"Ce n'est le lieu du malheur que pour ceux qui en sont loin." 6
Tous, je vous dit tous vont chercher du côté de l'origine, enquête névrotique dans la névrose puisqu'il n'y a pas de métalangage. Ça n'empêche pas d'exister, mais comment? Littéralement mais sans poésie aucune, pas poète un instant, laissons les poètes nous apprendre comment ils s'y prennent pour sublimer ça. Pour notre tâche, il s'agit d'en rendre compte et d'apprendre à lire, y compris les poètes, pour les admirer quand c'est réussi.
Il ne faut pas accaparer les poètes. Entre Parole et écriture, le symptôme trouve son matériau et prolifère. Entre trauma et castration le discours produit est engloutie, il ne revient qu'en morceaux discrets qui font texte écrit avec ces caractères, les lettres d'une écriture qui n'est pas alphabétique ni même idéographique. Quelle idée!
Parole et phobie
La phobie, plaque tournante des névroses nous montre bien qu'il s'agit pour le sujet de s'interroger à son propre propos. Afin d'éviter le désir dont la structure est propre au langage. le sujet avance sa question qui s'étend des névroses jusqu'à leur opposé dans la structure, la perversion, et joue de la formule : "Pourquoi ne sommes-nous pas des animaux?".
Tous ont peur de la porte du désir, la coupure, mais l'angoisse est présente lisible derrières ces manuvres aux figures incessantes mais en n'ombre finies.
Mais le traumas n'est pas loin et il vient de la parole, par la voix refoulée.
Les narcose restent l'antique procédé pour atténuer la bandoulière de celui qui doit porter le drapeau pour les autres, la tension phallique ainsi produite dans la libido du moi comme dans la libido de l'objet.
Dans l'addiction par exemple on a déjà noté le lien entre l'alcool et la vérité, pour alléger la parole, soit disant, facilité illusoire comme en toute narcose, mais dans le jeu aussi, d'être culpabilisante comme l'onanisme, du fait du "mauvais service rendu à l'organe" favorisant son caprice d'enfant mal élevé.
C'est la même structure produite par le surmoi, une folie, méconnaissance et lâcheté, intéroger les Robin des bois de la délinquance, c'est pour le bien, bafoué par les autres, qu'ils sont porté aux crimes les plus abjecte. On les excuse comme des somnambules. C'est leur enfoncé la tête sous l'eau, sous prétenxte de circonstances atténuantes qui favorisent l'exercice de la cruauté de leurs bourreaux généreux. Les choses sont ce qu'elles sont et doivent le rester. Même Sade l'écrit, on nait du bon ou du mauvais côté, et on y reste, pas question d'en changer. C'est une comédie infame.
Où l'on oublie l'écriture, sa difficulté : se relire, ça c'est difficile, peut-être la castration impensable différant du trauma.
Écriture, la littérature jusqu'aux mathématiques
Entre privé et public
L'espace produit par le langage est traversé d'une grande porte où la Loi de la Parole s'exerce différemment d'un côté comme de l'autre.
En public, il y a des contraintes liées à la Parole en tant que Parole, pas comme communication, parce qu'elle dit toujours la vérité. Il faut donc parler en disant la vérité comme ça sa définition sera respectée, c'est plus sûr. La parole doit dire la vérité puisque les enfants croit que la parole dit la vérité, c'est sa fonction, la fonction du dire, la marque silencieuse qui marque ce qui est dit : c'est dit. Et comme dit c'est vrai, puisqu'on vous le dirt. Seuls les sujets psychotiques le récusent, ils veulent des marques et des labels plus sûre, tout doit être dit.
C'est la Loi de la Parole et du même coup : "Le publique c'est le pubis.". Car cette fonction du dire, du fait de dire, c'est la dimension de la vérité, c'est la dimension de l'autorité, c'est la dimension du pouvoir. Seul Freud, de ce que l'on savait déjà, depuis toujours, dans le fait moderne, encore contemporain de ne pas s'apercevoir, en fait texte quasi mathématique pour répondre à ce que veut une femme, mais personne ne l'entend, sauf Lacan qui l'explique de telle manière que personne n'y comprenne rien, tellement ils sont bêtes et méchants. Le signifiant impératif du côté des oreilles, c'est le Phallus et sa fonction dite phallique de s'imposer jusqu'à la fascination : fascinum, avec son corrélat de la castration : la mére ne l'a pas, pourtant on croyait qu'elle l'avait comme tout le monde l' a.
ça se chante à l'occasion :
on l'a, on la, on l'aire,
on la, la, l'air,
on en a l'air...
Le semblant tout pareil pour les astucieux qui oublient qu'il y en a toute une gamme. C'est pour ne pas avoir à l'étudier. Étude austère et difficile, ils préfèrent accuser les autres d'en jouir sans savoir...
... que c'est pas bien, selon eux. Puisque le déplaisir à pris la place de la jouissance qu'on vous dit. C'est oublier aussi que ce déplaisir c'est la castration qui n'est pas une petite peine mais l'ouverture de la tragédie du désir. Alors? Ça ne se négocie pas, c'est absolu, ce qui veut dire séparé.
Dans la partie privé la dérive, la différence du signifiant, pas du prof de philo, le signifiant audible qui diffère et dérive, le mensonge ou le statut logique du réel, c'est une question, ici elle est tolérée, nous sommes entre nous.
Jusqu'à l'obscénité du fond de l'appartement, la chambre à couché des parents, lieu impensable où aller jouer aux grandes personnes. Nous les abandonnons à leurs cris. Mais chacun qui y va s'identifie dans l'alcôve à l'enfant que ce couple pourrait produire. C'est plus simple si il est stérile par définition, reste l'adoption mal traitée.
Arrêtons ce tour d'horizon des raisons structurales pour reprendre la citation dont nous sommes partie maintenant que le lecteur sait un peu où nous voulons en venir avec cette peur au ventre de notre grande clique qui fait la nique aux chiens, les clique-nique-chiens aux grandes oreilles.
II
Où Hans promenait Freud et son père
L'explication lapidaire de Lacan.
Lacan procède par détours
« -... les détours que l'inconscient y fait chemins à revenir sur ses pas. »
Il fait application de la permanence dont se distinguent névrose, perversion et psychose.
La permanence qui consiste "en la quadruple instance dont chaque déviations se soutient de consister à trois autres"
+1 dans le nud,
+1 pulsion = permanence de la déviation structurale du langage.
Lacan a situé la fonction du manque, le +1 dans le discours analytique comme lien social qui repose et commence à partir de (n = 2) deux = cures pour se prolonger en (3 ÿ n) plusieurs = cartels, à condition de le pratiquer tourbillonnant.
Certains disent : institution, c'est l'expression préférée des travailleurs sociaux, d'autres disent : école, c'est l'expression préférée de l'éclectisme, obnubilés par le retour à la pureté jusqu'à la terreur. Dans les deux dimensions du discours , deux / plusieurs, le manque du nom de : +1 est récurrent dans sa métonymie.
Des portes et des coupures
Nous avons déjà présenté les portes et les coupures qui séparent, le désir est une porte, une scansion. Comment éviter les scansions, les coupures, le désir.
La chanson continue :
"Promenons-nous dans les bois
Tant que le loup n'y est pas
Si le loup y été
Il nous mangerait."
La question du retour.
Pour rentrer chez soi, résumer son chemin ou faire un tour par un autre côté.
Il faut choisir Le petit poucet qui a balisé son chemin ou emprunter une autre voie avec la menace de la rencontre, la menace de se perdre.
La menace du nouveau, de l'événement , menace de percevoir le désir de l'Autre.
Des trajets et des graphes
Structurale du sujet
Le sujet de la névrose (phobie) et de la perversion (fétiche) nécessaires lorsque le langage tombe sur le corps comme la lumière sur un prisme, elle se difracte en un éventail, l'arc en ciel des structures freudiennes du symptôme côté symbolisation, faute de la réussite de l'objet transitionnel qui le résout en formule écrite (fantasme) qu'il faut encore dédogmatiser par le retour à la parole et ses risques d'embrouilles.
Sans cela le sujet se fait une peur artificielle à laquelle il tient plus que toute autre comme de son invention, son intuition, le trait lisible Ics. Le trait unaire (Enziger zung) supportant son identification aussi banal qu'exceptionnel comme le Nom du père. Alors comment éviter la coupure nécessaire, la porte du désir, sur le chemin qui mène à la maison. Autant rester chez soi, pour ne plus en sortir, mais là aussi la terreur s'installe, il veut sortir alors pour faire un tour où vérifier qu'il peut toujours résumer son chemin comme le petit poucet. Mais gare aux oiseaux si les petites pierres sont des miettes de pain.
Petit divertissement géométrique
Des arbres et des cycles
Il y a deux types de graphes connexes opposés comme extrêmes dans la structure, les arbres et les cycles. Montrons un prototype de chacun.
Définition
Un arbre est un graphe connexe dont il suffit de retirer une arrête pour le rendre non connexe.
Conséquence, l'arbre est un graphe sans cycle. C'est une garantie, une assurance contre le péril structural mais il empêche la découverte, l'exploration des terres inconnues. Heureusement des tristes tropiques, il n'y a plus de terres inconnues à part l'Amazonie que notre industrie détruit jusqu'à l'asphyxie ou le fond des océans.
Bientôt nous irrons sur Mars avec des compagnons triés sur le volet, enfin débarrassées des barbares par la sélection ségrégative des nantis. Les autres seront exclus, ils vont périr d'épidémies faute de moyens, les pauvres. Mais les pauvres sont de mauvaises personnes, la preuve ils sont pauvres, c'est écrit.
L'arbre est une structure privilégiée par la phobie qui déteste les cycles où d'aventure une nouvelle porte peut s'ouvrir. Même la psychanalyse n'y peut rien si le sujet n'en veut pas, il trouvera toujours de bonnes raisons de rejeter cette élaboration entre parole, écriture et parole. On nous suspecte d'illusions, d'idéalisme et de volonté de puissance en projetant sur nous la bêtise, c'est la paresse commune « sur laquelle repose la tour du capital ».
Des graphes et des nuds
Mais nous avons parlé du nud à propos du plus un.
Les graphes se continuent en nud. Nous avons montré cela dans notre premier ouvrage de topologie, or nos lecteurs veulent en faire seulement de la mathématique silencieuse sans la dédogmatiser par le risque de la parole qui se tient .
Nous n'avons pas de chance avec les plus vaillants admirateurs. Parler une langue travaillée par l'écriture, c'est notre contre programme anti-industriel et non-commercial. D'un commerce qui revendique une éthique au lieu de vendre de la soupe déjà périmée sur fond de technique de marketing.
Laissons cela pour la suite de nos travaux en direction de la psychose, passage nécessaire pou la psychanalyse à venir si tous ne sont pas atomisés. Il en restera bien quelques uns, sinon ce sera une première dans l'histoire, une espèce animale qui parvient à se détruire elle même, ce n'est pas rien.
III
Situation de l'analyse hier et aujourd'hui
Il n'y a pas de psychanalyse hors celle de Freud et celle de Lacan.
Nous voulons souligner par là qu'il n'y a pas d'analyse, parce qu'il n'y a pas de sujet trouvant le chemin de la tâche analysante hors Freud et Lacan. Cela ne fait pas d'eux des exemples à suivre mais des analysants. Ça ne s'imite pas et ça ne trompe personne.
Hors les ridicules terroristes terrorisés qui veulent l'ignorer et croient imposer le contraire, se satisfaisant de la convenance polie de tous. Il participe de la croyance en la force de leur conviction ou de leur corporation, médecin et professeur de philosophie pour les plus nombreux.
Ils luttent désespérément contre les crétins qui se croient malin de dénoncer ces fait pour détruire la psychanalyse. La psychanalyse inventée par Freud et fondée par Lacan n'a rien à craindre de ces ennemis et rien à attendre de ses supporteurs hors qu'ils fassent leur analyse comme analysant et organisent avec goût et inventions, le lien social nouveau qu'est la psychanalyse.
Alors que cette politique de l'autruche qui ne voient pas leur émules s'en arranger très bien et les conserver dans cette ignorance du fait de se satisfaire de cette situation qui arrange tout le monde. Réaction thérapeutique négative nous enseigne Freud, pas d'analyse et pas de transfert. Quelques autres ont essayés l'acting out, transfert sans analyse nous enseigne Lacan.
Pour l'analysant, cette tâche dépend d'une position décidé par un sujet (première difficulté, la décision est impossible à prendre). La tâche analysante est exigée pour occuper la place de l'analyste en devenir et demeure la seule certitude d'être dans sa psychanalyse comme dans la psychanalyse.
Retourner brutalement le marché du travail du discours du Capital : payer pour son travail, dépenser de l'argent pour travailler, voici ce que les capitalistes et leur employés complices rejettent avec vigueur.
Il faudrait mieux que ça ne se sache pas, donc qu'on n'en parle pas. C'est ce qui se fait : personne n'en parle malgré l'indication de la passe. Au contraire elle sert à ça, proposer à la place de vendre aux gouvernements modernes de la formation de psychothérapeutes pour adapter les sujets. Tâche impossible heureusement mais bête de s'y consacrer ne serait-ce qu'un instant.
De quelques conséquences de l'absence actuelle d'analyse de la phobie
Le public le dit bien, il parle et se plaint de crise de panique maintenant, dans la rue.
Ce n'est qu'accentuation, pour mettre sous le nez de nos grands terreurs-à-pleutres de la psychanalyse ce qu'ils ne voient pas, ni les uns ni les autres, ils ne savent pas lire, ils ne sont pas assez xéno-empathiques, la D.I. toujours, ils restent xénophobiques.
Ça commence à l'adolescence par les cauchemars et la bandoulière, surtout chez les garçons. Pour les filles c'es plus silencieux, elles refoulent mieux et supporte une bonne copine, une alter ego. Mais ce n'est pas une question anatomique. Pourtant à cette age là, une ébauche de différence des sexe apparaît tant les jeunes comme on dit, ont le goût de l'ordre.
Sérieux les petits garçons et les jeunes filles. Mais ça ne dure pas, faut cesser d'y croire il n'y a pas de différence des sexes parce que c'est la même chose, garçon ou fille, parce qu'il n'y a pas de rapport, ça se mélange.
Par le canal du rêve, leur reviennent les théories sexuelles infantiles, transformé par le travail du rêve, la déviation sexuelle permanente, des morceaux ça prend des formes d'horreurs. Les grands savants et l'industrie du jouet à cru pouvoir canaliser ça, avec le cinéma, c'est traité sauvagement.
Alors par dessus la charge phallique de la libido du moi, la bandoulière, l'angoisse, incontrôlable dans l'ignorance de la lettre du graphe. Comment couper là dedans, c'est pas sérieux mieux vaut le sirop industriel. Parler moi d'amour, comment projeter la libido de l'objet quand personne ne parle de ces objets nouveaux à faire notre actualité qui sont nécessairement différents et peut-être le même, Freud (1916) à propos de la libido. Jung ne le comprend pas, pour lui c'est comme pour tout le monde sans Lacan et sa bande de Möbius, si y en a qu'une, elle est une.
La libido c'est comme une langue, elle est parlée et écrite, ça donne deux langues distinctes mais dont on dit que c'est la même. Elle est une et les deux à la fois, comme cette drôle de bête : papa et maman, mais on vous dit que l'dipe ça n'existe plus ou que c'est bon pour la répression des psys, ces choses, les psys choses.
Une langue c'est comme la psychanalyse, celle de Freud, écrite, celle de Lacan, parlée, c'est pas pareil et c'est pourtant la même chose. Aller demander aux gendres de Lacan, et de Mahomet ce qu'ils pensent du passage à l'écrit comme ils disent pudiquement, faisant mine de s'y interesser, d'un discours parlé.
Alors les jeunes, bon surtout des garçons, ils se mettent en groupes sans se rendre compte que le nombre ça fait peur, surtout depuis Gödel, ça fait peur mêmes à ceux qui se disent psychanalystes, ils ajoutent que c'est une histoire de psychotiques (impayable ils vont chercher un auteur argentin pour écrire une bêtise pareils. Les français s'étaient déjà illustrés avec Cantor.
Ils sont si gentils, les jeunes, qu'ils se regroupent pour se retenir par les épaules, penser découper les dames en morceaux, vous penser y en a même qui les mangent. C'est la mêlée du Rugby avant le pied, le fétiche du football, mondial. Le foutre-Boole et pourquoi pas Turing, le Socrate des temps moderne, condamné à mort par les services secrets anglais, victime homosexuelle de la violence des administrations paranoïaques de la surveillances, après Moïse, le mouton, le Christ, Socrate, Louis XVI et la multitude des camps et ceux qui viennent maintenant, objets fascinant du sacrifice au Dieu obscure, mais là nous entrons dans le champ de la psychose.
Les stades, parlez d'un territoire qui chauffe, la pelouse autant que le tapis vert des addictions du jeu de casino ou du poker, en plus y les masses qui sont moins intelligentes que les individus d'Aristote. Ça donne les Ouligans comme on dit en anglais, problème pour la police.
Le développement des narcoses
La santé publique, le prétexte nous fait rire, tabac, alcool ... tout le monde vois bien qu'il s'agit d'un succédané au racisme désormais prohibé par la loi, la ségrégation continue, l'antisémitisme aussi bien, il court toujours par en dessous, penser le rejet de la lettre par les paranoïaque, c'est le chapitre suivant après la perversion.
La question des addictions, de l'anorexie, la boulimie, la consommation de produit licite ou illicite la folie délinquante se greffe dessus pour brouiller les questions de structure.
Traitée par la loi, par les juristes et les administrations. Pratique sommaire de l'écriture. C'est questions doivent être traitées de façon fondamentale, seule encore aujourd'hui l'analyse de Freud avec Lacan donne les moyen d'en traiter de manière juste. Mais comment, voilà le point? Car il faut commencer par s'occuper de ses oignons.
Le trafic des stupéfiants est devenus un problèmes mondial pour les pays producteurs de plantes faciles à cultiver tant la concurrence reste dominante.
Or un représentant qui se veut officiel et légitime de la psychanalyse aujourd'hui, nous dit : « la phobie n'existe plus ». C'est fini : textuellement.
J. M. C. Vappereau
Buenos Aires, Balvanera, mai-Juin 2008Notes
1 J. Lacan télévision Seuil, 1974 Paris repris dans dits "Autres écrits" par l'éditeur Seuil, 2001 Paris, désormais Écrits volume 2.
2 Pierre Legendre Ce que l'occident ne voit pas de l'Occident (2004) et La balafre, (2007) avec d'autres ouvrages dans la collection qu'il a créé aux éditions Mille et une nuits, Paris.
3 Lire Henri Meschonnic pour une critique actuelle sur ce point, en langue française. Par malheur cet auteur excellant tombe dans le piège de Lacan en croyant qu'il soutient la position saussurienne qu'au contraire il subvertit dans son style fait d'ironie pour les sourds ou les illettrés contemporains qui ne sont pas des analphabètes.
4 J. Lacan Préface à la thèse d'A. Lemaire, écrits volume 2, Seuil 2002, Paris
5 Cette étude n'a jamais été faite de façon déterminante en terme d'opposition dans les dimensions avant que nous donnions notre version dans un article, « Afin de Préciser le narcissisme », disponible au format (.pdf) sur notre page http://jeanmichel.vappereau.free.fr - textes . Les seules approches connues découpent leur solution fragmentaire en chapitre pour atténuer le scandale que cette résolution provoque pour la pensé qui reste aliénée par ce fait et de ce fait.
Notons comment P. Legendre qui souligne le thème du miroir chez les juristes romains et jusqu'aux religieux du japon dans la manigance du montage humain, méconnaît la topologie du sujet de Lacan dont nous développons les tenants et les aboutissant mathématiques et psychanalytiques en pure perte pour l'instant puisque cela n'intéresse personne aujourd'hui. Cet auteur souligne en une incantation, sans le préciser plus, que Freud a établit l'identité de la pratique des textes pour le sujet et pour la société dans leurs manières de s'élaborer. A quand une théorie en raison de la lisibilité, de la parole et de l'écriture dans le langage, pour instituer d'une autre façon les collectivités, les masses, toujours inhumaines et déjouer la civilisation impérialiste de l'occire scientifique, la destruction hégémonique des occidentés globalisants.
6 Jacques Lacan Hommage fait à Marguerite Duras pour son ravissement de Lol V. Stein Écrits volume 2.